La mobilité douce urbaine qui nous intéresse particulièrement dans ce contexte englobe tous les moyens de déplacement demandant un pourcentage raisonnable d'énergie humaine dans un contexte aménagé (rues, routes, trottoirs, parcs etc.). Les moyens de déplacement considérés sont trop nombreux pour être tous énumérés ici, mais comprennent principalement la marche, le vélo, la trottinette, le skate, le patin etc. avec de nombreuses variations plus ou moins pliables et électriques. Leurs points communs à tous étant bien sûr d'énormes économies d'énergie par rapport aux transports routiers classiques que sont les voitures et les motos, qui même électriques ont une consommation d'énergie nettement supérieure aux mobilités douces précédemment nommées en raison de leur masse (une majorité de voitures dépasse la tonne) et des vitesses impliquées (l'énergie nécessaire pour lutter contre la résistance de l'air pour une durée déterminée augmente au cube de la vitesse (*1) et les freinage et redémarrage sont aussi de gros consommateurs).
(*1) C'est d’ailleurs aussi pour cela que les éoliennes sont intéressantes
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